Le Bureau de la santé de Wellington-Dufferin-Guelph, en Ontario, exige le port du couvre-visage - Retail Council of Canada
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Le Bureau de la santé de Wellington-Dufferin-Guelph, en Ontario, exige le port du couvre-visage

10 juin, 2020

Un couvre-visage est requis pour tout client, employé ou visiteur à l’entrée et dans les locaux de tout établissement commercial de la région de Wellington, Dufferin et Guelph, à compter de 12 h 01 le 12 juin 2020. Le Dr Nicola Mercer, médecin hygiéniste, a rendu une ordonnance en vertu de l’article 22 de la loi sur la protection et la promotion de la santé. Cette annonce a été faite sans consulter les parties prenantes. 

Les définitions suivantes s’appliquent à la présente ordonnance (anglais seulement) 

  • Une personne désigne tout client, employé ou visiteur qui entre dans un établissement. Établissement désigne un local commercial utilisé pour offrir des biens ou des services au public et comprend un centre commercial ou une autre structure contenant un certain nombre de locaux commerciaux. Un couvre-visage désigne un masque médical ou un masque non médical ou d’autres revêtements faciaux tels qu’un bandana, une écharpe ou un tissu qui couvre la bouche, le nez et le menton assurant une barrière qui limite la transmission des gouttelettes respiratoires infectieuses. 

Voir l’avis public (anglais seulement) 

Voir la carte de la région de Wellington, Dufferin et Guelph. Cette directive ne vient que deux jours après que la province de l’Ontario a déclaré que la région était en sécurité pour passer à la phase 2 où les restrictions seraient assouplies. Le CCCD travaille avec le gouvernement de l’Ontario pour obtenir plus de clarté sur la décision et fournira des mises à jour dès que possible. 

Bien que le CCCD comprenne que l’universalité du port du masque améliorerait les résultats pour la santé, nous avons parlé avec des responsables toute la journée pour exprimer nos préoccupations selon lesquelles un préavis de deux jours ne suffit pas aux détaillants pour se préparer et qu’il s’agit d’un problème de conformité sociale qui ne peut pas incomber uniquement aux détaillants à faire respecter. De plus, le non-respect de cette ordonnance est une infraction dont les détaillants peuvent être passibles, sur déclaration de culpabilité, d’une amende pouvant atteindre 5 000 $ pour chaque jour ou partie de chaque jour où l’infraction se produit. 

Nous sommes en discussion avec les autorités locales, ainsi qu’avec la province, pour nous assurer que nos préoccupations sont partagées et pour mieux comprendre comment l’Ordonnance sera appliquée équitablement. 


Pour de plus amples renseignements, communiquez avec :
Sebastian Prins, directeur, Relations gouvernementales (Ontario)
sprins@retailcouncil.org